Karolyi - Mikhail Tal's Best Games 2 - The World Champion
Voici le deuxième tome de la trilogie consacrée à l'immense joueur qu'était Mikhail Tal. Cette partie couvre la période entre 1960 et 1971, soit sa meilleure. 357 pages
Free delivery from €69 (Belgium, France, Netherlands, Luxembourg, Germany)
Vous disposez de 14 jours !
Toutes cartes de paiement acceptées.
Voici le deuxième tome de la trilogie consacrée à l'immense joueur qu'était Mikhail Tal. Cette partie couvre la période entre 1960 et 1971, soit sa meilleure. 357 pages
Fabiano Caruana qu'on ne présente plus, méritait lui aussi son "60 Memorable Games". Pour rappel, il a été longtemps n°2 au classement Elo (il est 4ème actuellement), il a aussi été challenger de Magnus Carlsen pour la couronne mondiale en 2018, s'inclinant dans les départages en parties rapides après avoir fait jeu égal en parties longues. Son style de jeu est caractérisé par une excellente préparation et une une intuition hors norme. Son instinct pour jouer la bonne pièce, sur la bonne case au bon moment, est sans pareil. Cet ouvrage à l'aide de 60 parties bien détaillées, retrace ses meilleures parties depuis ses débuts en 2002 jusqu'à 2021. 442 pages
Voici un ouvrage qui ravira tous les amateurs de parties pleines de combinaisons tactiques, de sacrifices et d'attaques. Rashid Nezhmetdinov est un joueur mythique pour les spécialistes et cette collection de parties réunies et commentées par l'auteur à succès Cyrus Lakdawala, lui rend hommage. 288 pages
La taille a diminué d'un quart, mais le prix est hélas resté le même... Ce troisième tome est l'occasion de redécouvrir les deux joueurs sans doute les plus sous-estimés de l'histoire des échecs. Parce qu'il ont eu le malheur de régner quand le monde des échecs n'avait d'yeux que pour le ludion Fischer, et parce que leur style était pour l'un difficile à comprendre et pour l'autre difficile à caractériser, Petrosian et Spassky ont parfois été considérés comme des champions au rabais. Leur palmarès et leur valeur méritent pourtant mieux que ce jugement hâtif, et ce volume devrait contribuer à remettre quelque peu les pendules à l'heure - quelque peu seulement, la sélection de parties étant un peu courte pour illustrer d'aussi longues carrières (souvenons-nous que Petrosian fut présent dans les Tournois des Candidats durant 27 ans...). Au passage, on retrouve aussi quelques comparses doués : Portisch, le malchanceux Leonid Stein et, plus étrangement (car ses meilleurs résultats datent de l'ère Karpov), Lev Polougaevsky. Quand au style du livre, inutile d'y revenir : vous commencez à connaître le produit. Rendez-vous sous peu pour un sujet beaucoup plus rebattu : Bobby Fischer...
Un gros pavé de 768 pages, une autobiographie qui nous permet de suivre l'ascension d'un grand maître dans les années 80 , 90. Un portrait sans langue de bois, avec ses difficultés, ses échecs et ses succès. il y a beaucoup de choses intéréssantes dans son histoire qui trouveront un écho chez les joueurs de tout niveau. De ses premiers mouvements sur l'échiquier à son match des candidats contre Gata Kamsky, à seulement quatre pas du titre mondial, tout est décrit dans les moindres détails et avec la plus grande franchise par le grand maître néerlandais. L'histoire ne s'arrête pas là : la dernière partie du livre décrit le lent déclin d'un joueur professionnel vieillissant et son passage à la méditation et à la pleine conscience.
L'édition néerlandaise de In Black and White, qui contient plus de 300 parties et fragments analysés en profondeur, a été publiée en 2011 et est devenue culte. Grâce à cette traduction en anglais, elle va enfin bénéficier d'une audience plus large et bien méritée.
Paul van der Sterren (1956) a été joueur d'échecs professionnel pendant plus de vingt ans. Il a remporté le championnat néerlandais en 1985 et 1993 et a joué pour l'équipe néerlandaise lors de huit Olympiades. Van der Sterren a perdu contre Gata Kamsky après un combat acharné lors d'un match des candidats en 1994. Il a écrit plusieurs livres d'échecs, dont Fundamental Chess Openings (2009) est le plus connu.
Capablanca disait qu'il fallait commencer par étudier les fins de parties si vous désiriez vous améliorer aux échecs.
Dès lors, l'étude de cet ouvrage qui analyse la technique incroyable du grand champion cubain dans les finales ne pourra que vous être profitable. Couverture dure.
120 pages
Vladimir Tukmakov, n'est pas qu'un solide GM ukrainien, c'est aussi un capitaine d'équipe national et un coach de très haut niveau, dans ce livre, il propose de vous faire partager son expérience et ses connaissances. 351 pages
Cet ouvrage a été édité dans un but humanitaire, il rend hommage à la communauté échiquéenne ukrainienne avec de grands noms, tels que Ivanchuk, Ponomariov, Anna et Mariya Muzychuk, Tukmakov, Volokitin, etc.
Les fonds récoltés par la vente du livre seront intégralement reversés à la population ukrainienne. 207 pages
18 champions, quatre parties commentées par tête de pipe, histoire de faire connaissance : l'idée n'est pas nouvelle, mais le résultat toujours intéressant pour qui ne suit pas au jour le jour l'actu échiquéenne. Reste que le choix, tant des joueurs (la quasi-retraitée Judit Polgar dans les champions du nouveau millénaire ?) que des parties (quatre parties des années 90 pour Anand) pose question, et se révèle décevant pour le public français - Mamedyarov mais pas Bacrot, Karjakin mais pas Vachier
Plutôt synchro, dans sa sortie, puisque le championnat du monde démarre à Dubaï, voici un livre d'échecs à la gloire de Magnus Carlsen, mais comme l'indique le titre, en images, puisque il s 'agit exclusivement de photos qui retracent sa vie et sa carrière. 160 pages
Samuel Reshevsky, joueur américain d'origine polonaise, fut dans les années 40,50 et 60, l'un des meilleurs mondiaux.
Pour rappel et exemple, lors du fameux tournoi de Zurich 53, il termina deuxième au côté de Bronstein et Keres.
Au cours de sa longue carrière, il a battu pas moins de 7 champions du monde...
Il était notamment réputé pour son jeu positionnel remarquable.
Cet ouvrage écrit par Zenon Franco, nous propose 60 de ses meilleures parties largement commentées et également des exercices et des questions pour vous mettre à l'épreuve. 424 pages
Le mal rasé de Bakou ayant donc changé d'avis en cours de route, voici, en lieu et place de l'attendu My Great Predecessors 6, le premier volume d'une nouvelle série consacrée à l'évolution de la théorie des ouvertures à l'époque moderne - celle-ci démarrant, assez arbitrairement, à la retraite de Fischer. C'est l'occasion de passer en revue aussi bien des systèmes effectivement nés durant les années 70 (Sveshnikov...) que d'autres simplement développés durant la même période (Caro-Kann classique avec 4...Ff5), ou encore certains dont l'heure de gloire viendra en fait nettement plus tard (6.Fe3 dans la Najdorf, 4...a6 dans la Slave). Au total, beaucoup de choses intéressantes, mais une impression globale un peu confuse et un intérêt pratique peut-être discutable. A part çà, nos bons amis anglais ont apparemment décidé que la vache à lait ne meuglait pas encore assez fort : ils en ont donc remis une couche sur le prix. Merci, Everyman !
D'après l'éditeur, voici le tome le plus attendu de la série... C'est bien probable - et c'est bien étrange, car c'est sans doute celui dont on a le moins à attendre. Que raconter de neuf sur le seul champion du monde américain? Nulle carrière n'a été davantage scrutée, peu de parties autant analysées - par Fischer lui-même dans Mes soixante meilleures parties pour celles du début, par le monde des échecs tout entier pour celles de la fin, et par tout auteur à court d'inspiration depuis. Mais un instant - je suis en train de commettre la même erreur que tous ceux qui ont suivi aveuglément une couverture et une publicité tapageuse et réductrice. Car ce tome quatrième n'est pas consacré seulement au sale gosse de Brooklyn. Pour étoffer l'ensemble, les auteurs ont en effet adjoint aux 250 pages consacrées à celui-ci une première partie de presque égale importance portant sur les autres grands champions occidentaux de la période post-Alekhine. Ce qui entraîne au demeurant un curieux téléscopage chronologique, puisqu'on retrouve en particulier Reuben Fine, dont la carrière se termina sensiblement avant que Fischer (et Larsen, lui aussi largement présent) ne commencent la leur. En dehors des deux précités, on retrouvera aussi deux occidentaux accidentels, si on me pardonne cette image plaisante : Miguel (né Moishe) Najdorf et Samuel Reshevsky, qui eurent la mauvaise idée de naître juifs dans la Pologne du début du siècle, et la bonne de la quitter à temps (et même juste à temps pour le futur argentin, qui fit partie de ceux - Eliskases, Pilnik, Pelikan... - qui purent remercier la FIDE d'avoir programmé une Olympiade à Buenos Aires en août-septembre 1939). Après cette première partie forcément intéressante - on ne dispose que de peu, voire de pas du tout de littérature sur tous ces joueurs - vient la portion Fischer. Après une introduction stupéfiante certainement signée Kasparov, qui nous renseigne beaucoup plus sur Kasparov lui-même que sur le sujet théorique, vient un long développement détaillant la trajectoire chaotique du champion américain. Comme toujours, on retrouve l'alternance d'une biographie solide mais sans surprise (et qui ne doit sans doute rien, elle, à l'homme de Bakou) et de parties aux commentaires eux aussi solides, et eux aussi dépourvus de grandes surprises (cf début du texte...).
Comme on le devine grâce au titre, Lakdawala nous propose de découvrir un Bobby Fischer méconnu ou pour certains moins connu. La grande majorité des parties se trouvant dans le livre (il y en a 81 en tout) datent de la fin des années 50 au milieu des années 60 lorsque il n'était pas encore invincible. Il y a donc ici matière à découvrir un autre Fischer. L'ouvrage n'est pas traité dans un sens chronologique, mais plutôt relié par des thèmes dont vous trouverez la liste dans la table des matières (cf photo jointe). 384 pages